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Sous le plus grand des petits chapiteaux du monde,
Alfredo Panzani, ancien dompteur de fauves, a troqué ses lions et ses éléphants contre une ménagerie de puces savantes avec laquelle il parcourt le monde.
Tour à tour, jongleuses, acrobates, cracheuses de feu, équilibristes, les puces dressées du grand Panzani vous entraînent dans une frénésie de tours de force et d'élégance ponctués par un numéro unique au monde:
Zaza, la puce volante qui au péril de sa vie, est propulsée dans les airs grâce à un canon miniature.
Un spectacle plein d'humour où il ne faut pas se gratter pour rire..
 

Dates de représentations à venir 

2023

22 janvier : Ampelofolies du Cabardès (Moussoulens, 11)

10-15 mai : Festival International de Marionnettes Titirimundi (Ségovie, Espagne)

27-28 mai : Hérault, Hérault Patapon (Béziers,34)

7-11 juin : Biennale du Festival  de Marionnettes (Evora, Portugal)

02 juillet : FestiDrôles  (Simorre, 32)

15-16 juillet : Pellegru'Art Tremplin Bastid'Art  (Pellegrue, 33)

22 juillet : Rencontres Enchantées (Saubrigues, 40)

23 septembre : Place aux Lutins (Douelle, 46)

6-8 octobre : Mekanik du Rire (Pibrac, 31)

21 octobre : Festival Jeune Public (Cassis, 13)

20 novembre  : Citrouilles en Penne (Penne d'Agenais, 47)

2024

25-26 mai : Marionnettes et Castelets (Brie Comte Robert, 77)

10-15 mai : Festival International de Marionnettes Titirimundi (Ségovie, Espagne)

juin : D'Ici et Là (Arverne,63)

Théâtre forain, spectacle pour enfants, comédien, cirque, spectacle de rue...la puce Zaza et le dresseur Alfredo Panzani du Cirque des Puces Savantes

Maître de trois puces courageuses et savantes, Alfredo Panzani est dompteur, conteur, bonimenteur… et dans « bonimenteur » il y a le mot « bon » et le mot « menteur ».

De fait, ici le mensonge est délicieux.

Avec un pied dans la traditionnelle menterie et un autre dans la fête foraine, Do Kerignard mène son public… en chapiteau. La voix tonne, les puces étonnent et le fouet claque. Chaque mensonge est gros comme une baraque, et le spectateur s’y engouffre avec jubilation.
Mimi, Zaza et Lulu, les trois fauves, ne sont invisibles qu’aux yeux des sceptiques. Les autres, ceux qui regardent avec leur part d’enfance, les voient comme je vous vois. Elles déplacent des billes qui font cinq cent fois leur poids, déroulent de dangereux tapis, plongent depuis des hauteurs vertigineuses et traversent des cerceaux de flammes. Parfois, une puce s’échappe et va se nicher dans un lieu insolite… un décolleté, par exemple.

Panzani, intarissable et convaincu, raconte ses pérégrinations dans les coins les plus reculés, à la recherche de fauves à dompter. Il raconte les exploits, les drames (« Cinq puces mortes dans le numéro du cercle de feu !... Ne riez pas, ce n’est pas drôle »), et l’affection partagée (« Vous avez des enfants ? »). Il est très sérieux, Panzani. Il a la gravité des enfants qui jouent, et la délicatesse de nous faire partager son jeu. Sous ce chapiteau-là, le spectacle est autant sur la piste que dans le public.

On lit sur les visages des plus jeunes toutes les émotions du vrai cirque.

Elle retient son souffle, la fillette qui accueille derrière l’oreille deux puces qui « en principe ne devraient pas piquer » ! Les plus âgés, tiraillés entre le doute et l’envie d’y croire, entrent dans le jeu et tout le monde rit, jusqu’à l’explosion finale de la fusée qui emporte les puces dans les airs. Elles retombent dans l’épuisette de l’infatigable Panzani, et nous, nous retombons dans la pluie quimpéroise.

Il nous en faudrait plus souvent, de ces puces-là.


Mylinh Bui pour http://theatre-enfants.com/

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